Hommage à Mame Cheikh Ibrahima FALL

Mame Cheikh Ibrahima FALL, un exemple de dévotion, de ferveur et de total engagement, une lumière éternelle surnommée affectueusement  «Lamp Fall Baboul Mouridinah ».

Ce samedi 08 avril de l’an 2017 (12 rajab 1438 AP l’Hégire) au Centre International du Commerce Extérieur du Sénégal (CICES) sera célébrée la journée culturelle Mame Cheikh Ibrahima FALL.

Cette journée culturelle, à lui dédiée sera consacrée à Mame Cheikh, lui-même et à son œuvre.

En revisitant l’œuvre, ô combien gigantesque exposée par les mains savamment expertes, on est tenté de dire que Mame Cheikh est un modèle achevé bien de chez nous et qu’il mérite plus qu’une journée pour connaître ce disciple infatigable de Bamba dont la sincérité, le dévouement et la sagesse dépasse notre propre entendement.

Pour paraphraser l’éminent Professeur d’Economie politique, Monsieur François Boye qui, dans ses envolées lyriques, nous parlait déjà de prolégomènes à une macro économie sénégalaise, (c’était vers les années 80).

Je suis tenté de penser ou même de dire fermement que le sujet est si vaste que je propose de tenter humblement d’ouvrir un débat utile et fructueux qui sera véritablement de duègne à la communauté toute entière.

Mame Cheikh, m’a-t-on dit, était d’un teint très noir et avait une abondante chevelure. Il avait un visage toujours serein qui reflétait une douce paix intérieure.

Dans ses yeux, illuminés par une douce lumière se lisait la profonde détermination d’un homme qui avait trouvé le sens de sa vie et entendait opiniâtrement se consacrer à la réalisation des objectifs que cela impliquait.

Il était, m’a-t-on aussi dit, un homme très soigné de sa personne. Ceux qui l’ont connu ont attesté que sa vêture n’était pas particulièrement élégante, elle était du moins très propre.

La vérité est que Mame Cheikh Ibra FALL était tellement accaparé par son objectif de servir Dieu à travers Cheikhoul Khadim que les questions liées aux beaux vêtements et à l’apparence physique n’ont jamais été sa préoccupation.

Très au fait des exigences et préceptes de l’islam, il était très propre de corps et d’esprit.

Bref, ceci n’est qu’une simple esquisse d’un grand tableau architectural que nous devons tous nous engager à peindre et pour dépasser même les tableaux des plus grands maîtres.

Il y va seulement de notre volonté !

Au nom de mon guide Serigne Abo Mbacké Ibn Cheikh Mohamed Fadal (Serigne Falou), actuel Khalife de son père, Vénéré père et encore petit fils de Lamp Fall par sa mère Sokhna Astou Fall, fille de Serigne Modou Moustapha Fall, voilà mon premier « Adiya » au nom de Serigne Touba.

« Dieureudieufé, Serigne Touba ! Diarawlaké, Mame Cheikh ! »

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